La Thérapie Assistée par l'Animal

J'ai le projet de développer au sein de mon cabinet de psychologie la Thérapie Assistée par l'Animal.

 

J'ai pour cela suivi notamment une formation en Intervenant en Médiation Animale, mais également en Ethologie appliquée à la communication Homme-Animal, avec spécialisation en Comportementaliste Félin.

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Qu'est-ce que la Thérapie Assistée par l'Animal ?

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La Thérapie Assistée par l’Animal, ou Zoothérapie, est une pratique qui offre une méthode thérapeutique basée sur l’échange positif entre l’Homme et l’Animal. 

En 1960, Boris LEVINSON fut le premier psychothérapeute a observer l’effet bénéfique des animaux de compagnie sur ses patients et à l’étudier en profondeur.

L’Animal ne dispose pas de la parole, mais il parvient malgré tout, à entrer en relation avec l’Homme. Capable d’attachement, il intrigue, et attise la curiosité, sans toutefois nous juger. Un médiateur idéal dans le cadre de la thérapie.

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Quelle que soit la nature et la durée d’un programme de thérapie assistée par l’animal, l’animal s’avère être une aide précieuse et apporte beaucoup de bienfaits. Il est reconnu que le contact avec l’animal est apaisant. L'animal peut par exemple servir de dérivatif à l’anxiété d’une personne face à un thérapeute inconnu . En effet, les personnes accompagnées d’un animal sont perçues comme plus amicales et plus accessibles que les autres.

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La Zoothérapie apporte des bénéfices à la fois psychologiques, physiologiques et psychomoteurs. Elle influence le rythme cardiaque et a un impact bénéfique sur l’hypertension artérielle. Les bénéfices sont également psychologiques : la zoothérapie peut diminuer le stress quotidien et améliorer la qualité de vie.

 

 

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Pourquoi un CHAT Co-Thérapeute ?

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J'ai choisi comme animal médiateur LE CHAT.  

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Déjà parce que je suis une grande amoureuse des chats ! Mais aussi et surtout parce que la présence d’un chat a de nombreuses vertues. Le chat est un diffuseur de bonnes ondes !

Le chat réduit les humeurs négatives (stress, tension nerveuse...), il atténue la douleur et la dépression, il offre notamment un réconfort dans le deuil, et joue un rôle actif dans la prévention de l’isolement.

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Les chats sont sensibles à nos douleurs et à nos états d’âme, notamment la dépression. 

Ils ont un remarquable sens de l’observation et savent mettre la compassion en action.

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Le fait même d’être attentif au chat qui vient à nos côtés nous apaise et nous permet de moins focaliser sur notre douleur ou notre souffrance.

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Quelques exemples des bienfaits que peut nous apporter le chat :

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- Chez les personnes épileptiques, le chat prévient la crise avant qu’elle ne se produise.

- Chez les personnes âgées, le chat réduit l’isolement, diminue le sentiment de solitude, l’anxiété, la dépression, baisse la tension artérielle et donc permet la réduction de la prise de médicaments.

- Chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, le sens du toucher est l’un des derniers sens à être affectés, un animal peu donc être très thérapeutique.

- Le chat est un vecteur de communication, un élément moteur de socialisation et d’intégration sociale, qui assure une présence rassurante et renforce la qualité de vie des résidents. Accueillir un chat en EHPAD contribue au projet de bientraitance.

- En soins palliatifs, le chat tient un rôle d’objet « transitionnel » favorisant le processus de deuil, il apporte détente et réconfort.

 

Le chat de « soutien émotionnel » (comme le chien d’assistance) est plus qu’un animal de compagnie, il aide la personne souffrant d’un handicap émotionnel ou mental à y faire face et à mener une vie normale.

Les personnes souffrant d’anxiété, de dépression, de crises de panique, de stress post-traumatique ou de certaines maladies mentales sont admissibles à un animal de soutien émotionnel.

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Qu'est-ce que la Ronronthérapie ?

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La ronronthérapie est une technique de relaxation et de soin basée sur le ronronnement du chat. Entendre un félin ronronner est apaisant et permet de se détendre. Mais les bienfaits du ronronnement vont au-delà de la décontraction : il soigne vraiment. Cela serait dû notamment aux basses fréquences du ronronnement (situé entre 25 et 50 hertz) qui entrainent la production de sérotonine (un neurotransmetteur surnommé « l’hormone du bonheur »). La sérotonine a une influence directe sur la douleur, l’anxiété, la qualité du sommeil, la coagulation, le stress ou la dépression. En réduisant la douleur et l’anxiété, la sérotonine fait baisser la tension, ce qui réduit les risques d’infarctus.

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Les études sur la ronronthérapie ont démontré qu’elle pouvait avoir les effets suivants :

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• Diminution des difficultés respiratoires

• 40% de risques en moins de faire une crise cardiaque

• Diminution de la pression artérielle : la tension baisse lorsque l’on caresse un chat

• Diminution du taux de cholestérol et de triglycérides

• Meilleure cicatrisation des plaies (accélère la cicatrisation des tissus)

• Amélioration de la soudure des os donc accélération de la réparation des fractures (liée aux basses fréquences utilisées également par les kinésithérapeutes)

• Amélioration de la guérison des muscles, tendons et ligaments (liée aux basses fréquences utilisées également par les kinésithérapeutes)

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Le choix du chat ne se fait pas par hasard, certaines races sont davantage prédisposées que d'autres. J’ai pour ma part sélectionné la race qui me semble être la plus adaptée à mon projet, il s’agit du chat sibérien qui est à la fois très sociable, calme et surtout hypoallergénique afin de permettre à toute personne le souhaitant de bénéficier des bienfaits de la ronronthérapie.

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